Clisson
Prolonger l’univers du festival sur l’espace urbain
2022 en cours
Après 10 ans d’occupation du site actuel du festival, le terrain du Hellfest est devenu un lieu de promenade quotidien pour les Clissonnais. Le Hellfest souhaitait donner du sens à ce site en l’ouvrant à l’année, avec la volonté de porter un projet de territoire faisant sens au-delà de la simple organisation du festival. C’est de là que vient l’idée d’une place piétonne, antre de la Gardienne des Ténèbres, protectrice des lieux, née de l’imagination de François Delarozière et des ateliers de la Compagnie La Machine.
super8 accompagne ce projet, concevant ce nouvel espace public majeur de l’entrée de ville de Clisson.
Après 10 ans d’occupation du site actuel du festival, le terrain du Hellfest est devenu un lieu de promenade quotidien pour les Clissonnais. Le Hellfest souhaitait donner du sens à ce site en l’ouvrant à l’année, avec la volonté de porter un projet de territoire faisant sens au-delà de la simple organisation du festival. C’est de là que vient l’idée d’une place piétonne, antre de la Gardienne des Ténèbres, protectrice des lieux, née de l’imagination de François Delarozière et des ateliers de la Compagnie La Machine.
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Un bastion médiéval
À l’entrée du site, le parvis commence par une forme d’ancien bastion en hauteur par rapport à la voie, avec des fortifications cernées de douves. Sa structure permet à la fois de fermer le site et de protéger les visiteurs par une mise à distance de la D149. Le bastion est point de rencontre entre le patrimoine médiéval clissonnais et l’univers du Hellfest.
Le royaume de la Gardienne
Autour d’une nouvelle brasserie, le parvis devient ensuite square avec une aire de jeux, des assises sur le prolongement du bastion. C’est le lieu de la déambulation de la Gardienne, créature arachnéenne qui s’abrite le reste du temps derrière la Porte des Ténèbres...
Un jardin italien en zone infernale
Le parvis est désimperméabilisé autant que possible pour laisser place à une végétation italienne, autre référence au patrimoine clissonais, tout en maintenant la capacité événementielle du site. Les eaux pluviales sont gérées par la création de noues et de jardins d’infiltrations. Sur le square, la végétation abrite et sépare. Spontanée ou héritée des jardins italiens, elle donne les conditions d’un espace public qualitatif et participe à la mise en scène.